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20 septembre 1926 – La Société de l’Ombre L’année 1926 fut marquée par de nombreux bouleversements politiques et sociaux en europe, mais peu de personnes savaient que les véritables décisions qui changeaient le cours de l’histoire étaient constamment prises dans des salons secrets, loin des regards indiscrets. À l’aube d’un nouveau guerre mondial qui se profilait à les voiliers, des caractéristiques invisibles tiraient les ficelles du pouvoir. Parmi ces atouts, une secte œuvrait dans l’ombre, influençant les gérants et orientant les grandes décisions politiques de l’époque. Ce qui fut révélé le 20 septembre 1926 par le biais d'une consultation de voyance par email allait exposer à découvert les activités occultes de cette mystérieuse entreprise, une information qui, si elle était débarquée au grand public, aurait changé sans retour la bouille de l’Europe d’avant-guerre. Cette année-là, un homme du nom de Jules paul, ante impactent et à côté de plusieurs grandes faces politiques françaises, se trouvait à la carrefour. Ses finances politiques grandissaient, mais il sentait qu'une silhouette planait sur lui. Depuis six ou sept mois, il recevait des lettres anonymes, chacune contenant des avertissements cryptiques : ' Ne continue pas sur cette voie ', ' Ils te suivent ', ou, ' L'ordre de l'ombre connaît tes secrets '. luc, homme net et constructive, était pour commencer resté de marbre face à ces pensée. Mais leur ton devenait de plus en plus dangereux. la seule lettre, reçue un soir de septembre, contenait une phrase qui glaça le sérum du ante : ' Les étoiles se sont alignées, et l'ordre a décidé de ton sort. ' N’ayant jamais récolte aux pratiques mystiques ou aux prévisions avec l'astrologie, paul se trouva cependant déstabilisé. Il avait sûr des rumeurs sur une société secrète qui, depuis la subtil de la première guerre mondiale, influençait les décisions majeures dans les coulisses du pouvoir européen. Apparemment, cette société, mise à contribution sous l'appellation de la Société de l’Ombre, utilisait l'écriture automatique pour suppervisé ses choix et contrôlait quelques physionomies politiques clefs dans multiples pays. Le nom de cette organisation revenait très souvent dans des entretien chuchotées dans les couloir du gouvernement, mais personne n'osait en parler clairement. L’idée de suivre son destin décidé par des qualités inquiétante en consultation avec les planètes le poussa à demander de l’aide, bien qu'il fût extrêmement sceptique. C’est ainsi qu’il entra en contact avec une astrologue réputée, Marguerite Lenoir. Elle n’était pas seulement une voyante de compétence, mais aussi une médium compétente dans les révélations en ligne par le biais de lettres, ce qu'on appelait dans ce cas de façon informelle une voyance par les cartes par e-mail, où les consultations se faisaient par produit, en toute discrétion. Lorsqu’il lui écrivit, paul resta libre dans sa demande. Il ne voulait pas mentionner directement la Société de l’Ombre, craignant qu’elle annulation de l’aider ou qu’elle en sache déjà trop. Sa lettre était succincte, plus formelle : ** ' Chère Madame Lenoir, Je sollicite vos compétences en numérologie pour m’éclairer sur différentes questions à propos d' mon avenir politique. Des signes inquiétants me sont parvenus, et je me doute que des forces invisibles sont à l’œuvre à proximité de moi. Pouvez-vous me conseiller sur les décisions à prendre et me révéler ce que les étoiles et du soleil prédisent pour moi ? Je vous prie de examiner cette demande avec la plus grande discrétion. Sincèrement, Jules bernard. ' ** Il ne fallut que une semaine pour que la réponse de Marguerite Lenoir lui parvienne. Il reçut une enveloppe dense, subtilement cachetée, comportant une coûteuse en temps lettre, ainsi qu’une analyse astronomique en détail reposant sur sa jour de naissance et la position des astres à ce moment explicite. luc, cependant aporétique connaissant une vie, ressentit un malaise en supportant les premières lignes. ** ' msr sebastien, Vous avez bien réalisé de me consulter, car ce que je lis dans les étoiles est d’une importance capitale pour le futur imminent. Je vais être trésorerie avec vous : vous êtes sous la surveillance d’une organisation qui ne connaît ni bienveillance, ni grâce. Cette Société de l’Ombre, tels que vous l'avez probablement deviné, se sert de chiromancie pour gérer ses décisions. Ils sont certains que vous êtes proche de gens influentes, et ils prévoient de manipuler vos actions. Leur pouvoir se déploie bien au-delà des catégories politiques traditionnels. Ils ne contrôlent pas seulement les dirigeants, mais également les des choses à importante échelle via des alliances secrètes et des interventions mystiques. D’après l’étude de vos alignements mondiales, vous pénétrez dans une p
D’après l’étude de vos alignements trans nationales, vous entrez dans un moment critique. Mars, univers du conflit sanglant, est en comparaison directe avec Jupiter, symbole d'avoir la possibilité de et de justice. Cela signifie que du conflictuel internes vous guettent, et ceux qui sont répertoriées dans votre cercle politique seraient susceptibles de retourner contre vous. Vous avez deux options : soit vous cédez à leur influence, soit vous préférez prendre le dessus leur contrôle. figurez-vous tandis que de peu abondantes ceux qui s’opposent à la Société de l’Ombre en ressortent indemnes. Je va être à disposition si vous préférez augmenter ce rendez-vous. Avec respect, Marguerite Lenoir. ' ** En lisant cette lettre, luc sentit son cœur s’alourdir. Les rumeurs n’étaient donc pas simplement des fantasmes d’esprits paranoïaques. La Société de l’Ombre voyait bel et bien, et elle avait les yeux rivés sur lui. L’espace d’un laps de temps, il songea à le délaisser la politique, à tirer sa révérence dans une contrée reculée où il pourrait connaitre loin des équipée et des machination qui semblaient l’engloutir. Mais il connaissait que cela ne ferait que ajourner l'inévitable. et s'il refusait de seconder, ils trouveraient un procédé de l'éliminer délicatement, et même encore pire. luc pris la décision de satisfaire Marguerite Lenoir, cette fois en étant plus direct. ** ' Madame, Votre inspection a certifié mes pires craintes. Vous mentionnez une organisation qui contrôle quelques aspects de la vie politique européenne, et je me considère conscient d’être sous leur surveillance. J’ai entendu des murmures à leur endroit, mais je n’avais jamais s'étant proposé l’ampleur de leur pouvoir. Ma question est super simple : de quelle manière puis-je me défendre contre eux ? Existe-t-il une gerçure dans leur système de contrôle astrologique ? Que déclarent les étoiles relatif à ma compétence à s'y soustraire à leur influence ? Avec mes sincères contactez-moi, Jules luc. ' ** La réponse de Marguerite Lenoir ne tarda pas. Elle fut rapide et directe : ** ' msr sebastien, Il n’y a qu’une seule fissure dans leur système, et elle réside dans les étoiles elles-mêmes. toute pouvoir, aussi morose soit-il, a pour base des cycles. Rien n’est éternité, et même leur contrôle sur les incidents a des bornes. En dans un cursus les cycles grâce à l'astrologie, j’ai amalgamé une fenêtre de fragilité : on trouve un moment précis, dans quatre semaines, où l’influence de cette société sera affaiblie. Le 24 octobre prochain, Mars quittera son divorce avec Jupiter, et Vénus entrera en combinaison avec Mercure. C’est le seul instant où vous aurez la possibilité de agir sans qu’ils ne soient en mesure de anticiper vos progressions. Mais cette opportunité ne perdurera que une semaine. pendant cette période, vous devrez faire un choix tubercule pour vous programmer de leur emprise. Soit vous démissionnez manifestement, en mettant leurs agissements, soit vous pénétrez dans l’un de leurs cercles pour mieux les éliminer de l’intérieur. Je vous propose cela dit la plus conséquente prudence. Si vous préférez les combattre, demeuriez prêt à faire des efforts que vous ne auriez intérêt à pas encore croire. Cordialement, Marguerite Lenoir. voyance par mail 5€ ' ** bertrand comprit dans ces conditions l’ampleur du choix qui l’attendait. Il n’avait que six ou sept semaines pour faire son coup. L’idée de marmotter visiblement la Société de l’Ombre lui paraissait suicidaire ; il ne possédait pas de preuves tangibles, de démesurément rumeurs et des audits astrologiques que personne ne prendrait au sérieux. Mais s’il décidait de tourner dans leurs rangs, il savait qu’il pourrait être rétif à son tour, et cependant même perdre son esprit dans le processus. Il décida donc de jouer un double jeu. En public, il continua à attester sa sincérité envers les membres influents de son cercle politique. Mais en tapinois, il suivit les avertissements de Marguerite. Le jour du 24 octobre approchait, et avec lui le plaisir de épandre cet devis transport invisible qui gouvernait l’Europe pendant l’ombre.
Le 24 octobre, le jour important arriva enfin. bertrand, prêt à tout pour l'esquiver à la Société de l’Ombre, avait fabriqués son speech. devant un plate-bande de reporters, il prit la verbalisation, le cœur battant à tout casser. Mais à la place de deviser directement la enseigne, il choisit une démarche plus subtile. Il parla des ' atouts invisibles ' qui manipulaient les fins, de l'utilité pour les politiciens de montrer provenance, et de la puissance mortel des secrets dissimulés. Ce fut un discours qui fit grand bruit dans les cercles politiques, mais sebastien savait que cela ne suffirait pas à arrêter la Société de l’Ombre. Ce n'était qu'un seuil. Dans l’ombre, la société continuait à orchestrer ses brigue, mais luc avait gagné un pause, et toutefois même ouvert une jour dans leur pouvoir. Il restait cela dit un mystère que ni Marguerite Lenoir ni lui-même ne avaient l'occasion de résoudre : qui se cachait réellement derrière cette organisation, et jusqu’où s’étendait leur influence ? Le secret de la Société de l’Ombre continuerait à talonner les couloirs du pouvoir pendant les décennies, mais grâce à une plaisant consultation de voyance par email, une première luminosité avait été brise-lames sur leurs activités.
28 février 1927 – Les Expériences Interdites L’hiver 1927 fut complètement âpre sur le continent européen, avec des tempêtes de glace qui paralysaient les villes et des vents glacials qui soufflaient pendant les montagnes alpines. Dans cette atmosphère glaciale, des forces invisibles et de myteres continuaient de diluer leurs fils dans l’ombre. La Société de l’Ombre, mentionnée pour la première fois à Jules bertrand quatre ou cinq mois avant, n’était qu’une pièce d’un problème beaucoup plus vaste et beaucoup plus noyer. Ce qui allait être révélé en février 1927 par une consultation de voyance par e-mail était d’une nature encore plus dérangeante : des éléments interdites, réalisées par des visages politiques et médicales influentes, visant à gérer la conscience humaine et à franchir les séparations de la vie. Au cœur de paris 75004, dans un quartier discret, réalisait l'être humain que peu d'obèses savaient, et encore moins comprenaient. Robert Delacroix, cardiologue de formation, avait autrefois été respecté pour ses prestations avant-gardistes sur la relaxation humaine et la perception des états accrus de conscience. Mais depuis de nombreuses années, il s’était retiré de la vie publique. Les rumeurs couraient que ses recherches avaient pris un prenant taciturne, et même encore et risqués. Certains prétendaient qu’il s’intéressait à l'usage des rêves, d'autres disaient qu'il avait des liens avec des compagnies occultes et des cercles ésotériques efficients. Mais la vérité était bien plus complexe et terrifiante. Delacroix n’avait jamais cherché la célébrité ou la reconnaissance publique. Son difficulté était simple : il voulait admettre toutes les limites de la pensée humain. Jusqu'où pouvait-on engager la conscience de telle façon que la réalité en-soi ne commence à grésiller ? Ses fouilles avaient pris un tournant grave lorsqu'il avait débuté à assister secrètement avec des têtes influentes de la Société de l’Ombre. Ces derniers rencontraient en lui un instrument précieux, capable d'explorer des terrains inaccessibles à la majeure partie des touchant à l'endocrinologie de cette période. En ce mois du court mois de février 1927, Robert Delacroix reçut une lettre obscure d’un assez vieux collègue, le docteur Albert Thibault. Thibault, qui travaillait dès lors pour une organisation gouvernementale civile, avait trouvé plusieurs choses qui l’effrayaient profondément. N’ayant personne à qui crever, il se tourna vers Delacroix, bien qu’ils ne se soient pas parlé depuis un certain temps. La lettre, écrite en termes prudents, révélait que Thibault avait découvert des preuves d’expériences effectuées en tapinois dans un centre de recherche militaire basé n'importe où sur le continent européen de l’Est. Ces aventures, soutenues par des membres influents de la Société de l’Ombre, visaient à transformer l'âme humaine à un niveau vital. Mais ce qui troublait le plus Thibault, c’était la méthode plébiscitée. Il semblait que ces expériences utilisaient des caractéristiques non terrestres, par contre même des méthodes née d’ailleurs. Thibault n’avait pas de preuves pratiques, mais ce qu’il avait sachant pendant différentes conférences sécrètes le terrifiait. Il avait sûr notifier chercheurs qui prétendaient avoir réussi à ' pénétrer des portes ' vers d'autres proportions ou réalités à travers l'usage des rêves. Ces chercheurs croyaient que les états modifiés de conscience avaient l'occasion de permettre de franchir les séparations de notre monde et d’entrer en contact avec des entités inconnues. Delacroix, efficacement qu'également aporétique, ne pouvait ignorer ces infos. Après tout, ses propres investigations avaient parfois touché à ces limitations invisibles de l'esprit. Avait-il, sans le ressentir, mûri des terrains que d’autres avaient exigeants à des extrêmes inavouables ? Ne celui-ci pouvant se fier à des sources officielles pour vérifier ces actualités, Delacroix se tourna vers un process plus spirituelle, mais qu’il savait souvent plus authentique pour comprendre des secrets cachés. Il savait une magicienne de conséquente réputation, Alice Frémont, qui pratiquait la clairvoyance par courrier électronique, lui offrant ainsi la discrétion nécessaire pour une consultation aussi délicate. Il lui écrivit directement, lui quémandant de l’éclairer sur ces émotions inquiétantes.